Tout en bas se trouvent les quartiers chics et riches... Les catégories les plus aisées de la population profitent d'un climat plus clément.
En hauteur, la tête dans les nuages et la pluie, les quartiers les plus pauvres grimpent sur les montagnes et s'étendent sur l'Altiplano. Les maisons y sont perpétuellement en construction et la pauvreté y est palpable. C'est là que s'installent les immigrants venus de la campagne.
Entre les deux, les vieux quartiers historiques, le patrimoine culturel et le siège du pouvoir politique et économique bolivien.
Ici, la plaza Murillo (révolutionnaire de 1809 excécuté par les Espagnols). A gauche, le palais législatif. A droite, le palais présidentiel. Cette place est le théâtre des nombreuses manifestations qui ont lieu dans la capitale...
Ici, le pont des Amériques...
La Paz nous plaît beaucoup. Les gens y sont beaucoup moins stressés qu'à Santiago du Chili ou que dans les grandes villes européennes, et elle n'a rien à voir avec cette folie urbaine qu'est Buenos Aires.
Au milieu de montagnes grises, La Paz est pleine des couleurs des marchés, des boutiques, des vêtements traditionnels et des drapeaux révolutionnaires d'un peuple qui demande respect et justice...
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